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Magique

  • Photo du rédacteur: NH
    NH
  • 13 juin 2021
  • 5 min de lecture

Je veux ressentir tes baisers sur mon corps, je veux ressentir ton corps contre le mien, je veux ressentir ta langue que j’imagine si magique à l’endroit que tu sais que je sais que tu sais, c’est à ceux que je n’arrête pas de penser depuis que j’ai croisé sa route. En tant normale, je ne suis pas si sensible au toucher, en temps normal, aucun homme aurait pu susciter tant d’intérêt de ma part, je ne sais pas ce qu’il a de plus que les autres, peut-être sa beauté? Non, d’habitude je m’en fiche un peu, il est beau et puis quoi, peut-être la façon qu’il a de me sourire comme s’il savait ce que d’autres ne savent pas, ah oui son sourire qui suscite des réactions chimiques extraordinaires dans mon corps, il fait tout pour réveiller ce qui sommeille en moi, tout pour me provoquer, tout pour me faire faire ce que je n’aurai jamais pu penser faire, un frôlement par-ci, un frôlement par-là, une caresse par-ci, une caresse par là, c’est la torture qu’il me fait endurer assise avec nos amis quand il veut tourner la bouteille juste en face, moi qui croyais venir faire un exposé avec une amie, il a trouvé un moyen de s’incruster ainsi qu’avec ses deux acolytes. - à toi de tourner la bouteille Gaby. Me sursurra-t-il doucement à l’oreille. Cet homme me tuera un jour. - pas besoin d’être aussi prêt et je ne suis pas aveugle comme tu le vois. Dis-je en roulant des yeux et en faisant tourner la bouteille. Il m’attire, s’il existe de mot plus fort que ça, je l’aurai utilisé pour vous montrer à quel point il me fait mouiller ma culotte mais pas question qu’il le sache. Il me sourit comme s’il me disait qu’il le savait déjà. - enfin ça tombe sur toi. Dit Nanda excité comme une puce. - Action ou vérité? Demande Charles - Vérité. Répondis-je. - Tu casses le délire là. Dit Circé. Une fille aussi amère et casse vagin. - c’est son habitude. Ajouta Jaden. Comment vous dire que même si je sais que c’est de la provocation, ça me touche car j’ai toujours tendance à vouloir faire le contraire de ce qu’il dit. - Je change d’avis, je choisis action. Ce qui le fit sourire au coin puis regarder Charles en secouant la tête. - va chercher l’ananas. Dit Enzo en s’adressant à Natalie, qui se lève en roulant des yeux. - Attendez c’est un complot ? - T’inquiète princesse, rien qui ne sera trop dur pour toi. Dit-il en me frôlant l’épaule que je m’empêchais d’écarter ce qui le fit sourire. Natalie revient et tendit le bol à Charles qui me le tendit, je le prends et le regarde puis regarde le bol. - nourrit Jaden. Dit Charles. - Ce n'est pas si difficile. Dis-je en prenant une tranche d’ananas en main pour le mettre dans sa bouche. - Pas comme ça avec la bouche. Précisa Charles. Jaden me fit un sourire qui me fit craquer putain qu’est-ce qu’il m’excite. - tu n’es pas obligée de le faire. Me dit Circé. Pour la première fois, elle a l’air de me comprendre mais le problème c’est que j’ai envie de le faire et j’en meurs d’envie. - Ça va. Je monte à califourchon sur lui, ce qui le fit sursauter, je porte un ananas dans ma bouche puis attrape son visage en coupe et me dirige vers sa bouche. Avant même de faire quoique ce soit il le prit en bouche en mordant aussi mes lèvres aux passages. Je m’avance pour être près de son oreille. - c’est tout ce que tu auras. Murmurais-je avant de me remettre en place comme si de rien était. Je ne sais pas s’il le sent, si nous les humains nous sommes comme les animaux que nous produisons des hormones qui permettent aux hommes de savoir quand il faut le faire mais je sais qu’il le sent cette tension entre nous, cette électricité. - c’était intense. Dit Enzo. C’est maintenant que je finis par remarquer ce silence lourd dans la pièce, on dirait qu’il n’est pas le seul à sentir cette tension. - il faudrait que je te parle Gabriella. Dit -il sèchement. - Ça chauffe. Dit Circé. - Ne te mêle pas de ça. Dit Natalie. Il me tend la main pour m’aider à me relever puis il me dirige vers le couloir, enfin c’est ce que je pensais avant qu’il ouvre la porte de la chambre de Natalie et qu’ils nous fassent entrer. - tu me fais chier. Dit-il en m’embrassant comme si sa vie en dépendait. Je tire sur ces cheveux pour qu’il arrête puis regarde chaque parcelle de son visage. - pas comme ça. Dis-je en avançant son visage et en l’embrassant doucement, lentement. Il arrête le baiser pour me faire des petits baisers sur la bouche, il passa même sa langue comme pour me demander l’accès, ce que je lui accordai en l’embrassant cette fois avec la langue. Notre baiser est si parfait, si doux, si sensuel, que je ne pus m’empêcher de gémir et de l’attraper pour le coller plus à moi. - je savais que tu n’étais pas si indifférente. Dit-il en rompant notre baiser et en m’embrassant le front avec tendresse. Ce qui fit danser les papillons dans mon ventre, tant de tendresse que je le pensais incapable. - puis-je te toucher? Me demanda-t-il si bas que j’aurais pu penser l’avoir imaginé. Cela ne m’aurait pas étonné d’ailleurs. En d’autres circonstances, j’aurai dit non, je l’aurais giflé, je l’aurais dit de ne plus m’adresser la parole, que s’il pensait que j’étais une fille facile, mais comment peut-on résister à son fantasme vivant, à ce moment-là sans qu’il le sache, il m’avait tout entière, mon corps et mon âme. Je pris l’initiative de prendre sa main gauche et de la mettre sur mon derrière et sa main droite sur mon sein gauche. Il me regarda faire en silence me laissant les rênes, j’aurais aimé qu’il soit entreprenant, je sais qu’il veut me laisser le choix des limites mais je veux que ce soit lui, qui me les montre, qui me les expose. - profites-en avant que je change d’avis. Il le prit comme un feu vert car il plaqua ces deux mains sur mon derrière et me souleva, ce qui me fit hoqueté, il ne me donna pas le temps de réfléchir qu’il avait déjà sa langue profondément dans ma bouche, il s’assoit sur le lit avec moi sur lui et soulève mon maillot pour me laisser en soutif, ce que je fis aussi avec son maillot, je suis peut-être sur lui, mais c’est lui qui domine, c’est lui qui a le contrôle et je le lui laisse volontiers, tant qu’il assouvit ma soif de lui, tant qu’après j’arrête de vouloir ressentir ces baisers sur mon corps, de vouloir son corps contre le mien, de vouloir ressentir sa langue qui en passant est comme ce que je l’espère « magique ».


In_saisissable

 
 
 

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