Le parfait amant

Il posa ses lèvres doucement dans mon cou et y déposa des baisers aléatoires qui dessinaient des formes qui m’échappèrent. Ses lèvres froides descendaient tout au long de ma peau chaude et dessinaient l’image parfait du fer postulé sur un vêtement encore mouillé dégageant une écume de fumée comparable au tressaillement involontaire qui me fis comprendre clairement que je ne pourrais pas résister. J’ai senti son souffle bouillant et rythmé calotter de temps à autre ce mélange parfait de concupiscence. Il s’arrêta sans crier gare là où la libido me transperçait la musculature, comme pour me demander s’il pouvait continuer. Je ne savais pas quoi lui répondre, devrais-je me laisser aller et gouter au fruit interdit ou devrais-je tout emballer et partir. Je ne voulais pas partir ce fruit parfait mélange de désir, d’ardeur amoureuse et d’appétence m’avait fait mouillé d’innombrable fois ma petite culotte par un simple un regard ! Cette fois si je ne voulais pas résister. Je me tournai ver lui, lui attrapa ces lèvres pulpeuses roses ornées de ces petites races noires qui lui destinait toute sa vénusté. Et l’embrassa pour lui faire comprendre qu’aujourd’hui je ne voulais pas qu’il parte, mais qu’il me fasse gémir son nom jusqu'à ce que je n’en pouvais plus.. J’avais envie de lui. C’était parti pour notre énième plaisir érotique...

Christ-Berly Dérival