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Hard drive

  • Photo du rédacteur: NH
    NH
  • 27 janv. 2021
  • 5 min de lecture

S et moi avions prévu d’aller au cinéma. J’avais bien envie de me faire peloter dans le noir donc je portais un bustier rouge qui faisait pigeonner mes seins and une minijupe en cuir noir. Pendant qu’il conduisait, S avait pose sa main sur ma cuisse et j’entrelaçai mes doigts aux siens. Mon téléphone se mit à sonner et je dénouai nos doigts pour attraper mon sac pose à mes pieds. En voyant le nom de Dan s’affiché sur mon téléphone, je fronçai les sourcils. Pourquoi mon boss m’appelait à cette heure-là ?

J’allais décliner l’appel quand d’une pression sur ma cuisse S me dit :


- « Réponds. C’est peut-être important. »


Pourquoi voulait-il que je réponde ? J’appréciais bien ce silence entre nous car nous n’avions pas besoin de mots pour nous comprendre. L’esprit de l’homme parfois, allez comprendre ! Donc je répondis. Quand, mine de rien il se mit à caresser ma cuisse, je fis un effort pour rester concentrer sur la conversation parce que c’était important. J’en perdis le fil quand écartant ma culotte il introduisit deux doigts en moi. Je me mordais les lèvres pour me retenir de gémir au téléphone. Oh le coquin ! c’est pour

ça qu’il voulait que je réponde pour me tourmenter !

S se mit à jouer avec ses doigts, sa paume frottant mon clitoris a chaque va-et-vient. Ses hum appréciateurs et le bruit que faisait ma chatte trempée me rendait folle. D’eux même mes hanches se mirent à bouger contre ses doigts. Toujours au téléphone ne répondant que par des hmm j’essayais désespérément de ne pas gémir. Mais quand il mit un troisième doigt en moi je n’y tins plus. Sans attendre sa réponse, je dis à Dan que j’allais le rappeler et raccrochai. C’était temps parce qu’au même

moment j’ai joui en un long gémissement.

Revenue sur terre quelques minutes après, je pris la main qui venait de me donner du plaisir et la porta à ma bouche. Je me délectai de mon jus intime sur ses doigts. Je les suçais un a un. Je pouvais voir la bosse qui déformait le pantalon de S. Pourquoi pas le tourmenter lui aussi ? pensai-je.


- « A ton tour ! » lui dis-je en m’attaquant à sa braguette puis son pantalon que je descendis à moitié.

- « Quoi ?!, me répondit-il en me regardant choqué, mais je conduis ! »

- « Et alors ? fis-je malicieusement en me penchant sur lui, débrouille-toi pour nous ramener en un seul morceau ! »

- « So, fuck that movie! On va... »

Le reste de la phrase se perdit quand j’engloutis son membre en entier dans ma bouche. Il sursauta et involontairement pesa le frein. Le mouvement me fit l’engloutir encore plus. Je pouvais sentir son gland tout au fond de ma gorge. Relevant la tête, je lui pris le visage, déposai un léger baiser sur ses lèvres et

lui dit :

- « You got this babe. »

- « Oh toi! Je vais... »


Je lui coupai la parole encore une fois en le fourrant dans ma bouche. Je le caressai de ma langue sur toute la longueur de son membre. Je m’amusais à le sucer longuement vite et à ralentir sans attendre. Je

le pompais les lèvres serrées tout en l’enserrant fort de mes doigts à la base. Ses testicules n’étaient pas en reste. Je les massais, les suçais délicatement tout en continuant à branler mon homme par de savant mouvements du poignet. Des cris de délices m’échappaient et je savais que ça le rendait fou. Le sentant près du précipice, enserrant toujours la base de son pénis, je me mis à taquiner son gland de la pointe

de ma langue. Entre deux coups de langue je l’effleurais de mon pouce. Pour le coup final le sentant venir, je le pompai vigoureusement et S explosa dans ma bouche. J’aspirai jusqu'à la dernière goutte.

Je relevai la tête et vis qu’on était arrivé chez lui. Pas de movie ce soir donc ! Le temps pour lui de se rajuster, j’étais déjà devant la porte. Il ouvrit la porte, me poussa à l’intérieur. J’avais tellement envie de lui que je ne perdis pas de temps pour me déshabiller. Et lui aussi. Nos vêtements voltigeaient à travers

le salon. Quand nous fumes nus, il me plaqua face contre le mur le plus proche. S vint se coller contre mon dos et se mit à se frotter lascivement contre mes fesses. Il se savait que je ne pouvais pas résister quand il faisait ça, mes fesses étant très érogènes. Parsemant mon dos de petits bisous, il s’approcha de

mon oreille

- « Tu aimes ça hein ? Je parie que tu es toute trempée ! » dit-il en plongeant deux doigts en moi.

Ces doigts en moi, le frottement de ses hanches contre mes fesses et de sa paume contre mon clitoris, et les cochonneries qu’il me chuchotait à l’oreille...Toutes ces sensations à la fois, j’en pouvais plus. Je tournai la tête et captura sa bouche. Je l’embrassai voracement au rythme de ces doigts bougeant en moi. Je protestai quand, toujours derrière moi, il se mit à genou et me fit une succion sur ma fesse droite. J’adorais quand il marquait son territoire comme ça. Dommage que ce soit dans une zone interdite au public. Puis empoignant mes fesses, S les écarta pour avoir libre accès a mon intimité.

- « Regarde-moi cette chatte ! » comment a-t-il assis sur ses talons. Pis du bout de la langue, il me gouta.

- « HMM tasty ! »

- « Oh putain S ! lui criai-je, Bouffe-moi cette chatte ! »

- « A vos ordres madame ! »

Il fit comme je lui avais demandé. Il me bouffa la chatte, la dégusta, la savoura. Il me téta, me lécha, m’aspira. N’y tenant plus, j’explosai en tremblant dans sa bouche. Il me suça tout au long de mon orgasme. Encore tremblante, il me porta dans la chambre, me jeta sur le lit ou je rebondis en riant. Mon rire s’étrangla dans ma gorge quand il me tira par les pieds au bord du lit. Comme un vulgaire pancake dans une poêle, il me retourna et je me retrouvai à quatre pattes sur le lit. M’agrippant fermement les

hanches, il me pénétra d’un coup jusqu'à la garde, s’arrêta et recommença. Il continua son manège pendant quelques temps. Pis ses va-et-vient se firent plus rapides et plus forts. Je mis à me déhancher pour l’accompagner à chaque coup de rein. Je le sentis sur le point de perdre le contrôle car ses pénétrations se firent plus profondes, plus furieux. D’un dernier coup de rein, il me propulsa au septième ciel. Il me suivit tout de suite après en se retirant juste a temps pour éjaculer sur mes fesses. Je le sentis gicler sur mon cul épais et chaud. S éjecta les dernières gouttes en tapotant son engin sur mon postérieur. Les fesses dégoulinant de sperme, je m’écroulai sur le lit. J’ai dû m’assoupir car la sensation d’un regard sur moi me réveilla. S couché a coté de moi me regardait, un léger sourire aux lèvres.

- « T’es magnifique, tu sais, avec juste mon sperme sur ton dos »

- « Va te faire foutre ! lui dis-je d’une voix fatiguée et un peu enrouée a force d’avoir criée.

Il me sourit et m’embrassa.


Yvan Jean Verlaine Pierre

 
 
 

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