Femme

En inclinant les mots de politesse, agenouillé devant les porteuses de vie, pour demander pardon au mal que mes frères ont infligé.

Je suis sage homme je me prosterne devant la sagesse incarnée, je m'excuse de vous avoir ridiculisé, vous qui n'êtes pas restées têtes baissées, j'ai essayé de vous bafouer avec la politique de supériorité, respect à chaque rebelles qui ne sont pas emporté avec mes lois.

Pardonnez-moi chaque Canon que j'ai traité de prostituées c'était mon insolence qui vous traitait comme une chienne, vous baisez comme le diable et vous ouvrez la porte du paradis vous avez la clé des deux mondes. C'est la provenance de ma jalousie. Pardonnez-moi chaque femme que j'ai traitée de parasite qui a tellement donné leur courage dans les tâches ménagères et qui rend la clé du succès à leur progéniture, pardonnez mon arrogance je me suis servi de vous pour satisfaire mes désirs vous soigner mon âme par des conseilles bien veillant.

Penchée sur le côté architectural chaque guerrière est sculptée à la perfection d'un gratte-ciel, une pure merveille la nature a été émerveillé par sa naissance c'était la décadence. Je me suis fait berné étant qu'un idéologue tous mes plans étaient voués à l'échec sans le fleur de jasmin le monde n'aurait pas connu la fureur d'un Benjamin, sans lumière il n'y a pas de chemin.

Pardonnez les souffrances que je vous ai infligées, la violence de mes points, pour montrer ma force je vous ai tabassé, pardonnez mes moqueries, toi qui fais entendre ta voix pardonnez-moi j'ai tant cacher ma faiblesse derrière ta forteresse en te dénigrant pour la bannière de la force.

Le soleil connaît la force de la lune, elle n'est pas son égal mais connaît sa valeur dans la

nature. Le jour et la nuit deux exemplaires leur force sont identiques en pourcentage le

jour est brute et rude, la lune est douce et calme chaque dose peut être un poison.

Honneur à chaque soldat qui a combattu pour sa liberté, qui a plaidé pour leur droit, a chaque voix féminine qui luttent contre la violence, honneur à chaque couturière qui crée sa propre tunique, respect à chaque femme qui fait de son rêve une réalité, respect aux infirmes qui n'ont pas arrêtés de soigner les psychopathes au bras de fer, les infirmières qui ont données une chance aux gens qui étaient un pied sur terre. Respect à chaque cerveau qui ont de la matière grise. Respect à la femme qui m'a mis au monde à celle qui a essuyé mes larmes qui m'a abreuvé de ses seins qui m'a porté sur ses genoux.

Je demande grâce au près de l'amour et mère nature qui font l'éloge de cette planète,

respect à mon égal qui croit en sa force, celle de ma côte.

Nathan l'écrivain