Enfin...
- NH
- 15 févr. 2021
- 3 min de lecture
Je ne voulais pas la laisser filer, cette fille me plaisait dès le premier regard. Elle avait ce charme du langage et le corps parfait, et plus tard on était devenus amis à la vie à la mort. Pourtant, je cramais intérieurement chaque fois que je voyais ses seins et ses lèvres. Ce qui se passa aujourd'hui était fantastique.
Il faisait un soleil fantastique. Au loin, le ciel et la mer jouaient éperdument à être le ciel et la mer. Elle et moi étions dans cette chambre, car ma bite avait fait sonner le glas de sa chatte, une superbe chatte que je veux, et que j'en voudrai dans une pléthore d'occasions.
Quand elle passait devant moi pour gagner la chambre, ses formes intimes me coupèrent le souffle. Pourtant j'étais calme, je voulais lui plaire et combler cette _*freak*_ qui ne voulait que ça.
Elle m’a poussé avec un sourire égrillard, alors qu'on était à peine dans la chambre. Je me suis retrouvé contre alors qu’elle défaisait ma braguette et descendait mon pantalon sur mes chevilles en quelques gestes précis. Puis elle s’est accroupie devant moi, a dégagé mon sexe de sous mon slip déguisé en chapiteau, puis commençait de sa bouche à me surprendre, car la seule faculté qui me fût donner, c'était de gémir. Je sentis sa langue sur le gland, elle suçait joyeusement cette bite qu'elle avait tant admirée, tant les photos étaient nombreuses. Elle me fit un regard lascif, et sa main me branlait à en couper le souffle.
" _Je vais jouir_. " Elle avait entendu, mais m'avait laissé dégouliner dans sa bouche, pour la cracher dans les toilettes. Elle fut surpris de ne plus rien voir, car ma chemisette était sur ses yeux.
C'était comme si les autres sens compensaient le sens obstrué. Et elle imaginait cet homme qu'elle ne voyait pas. Mais elle était sereine, elle l'aimait bien et savait que c'était son bon ami.
Je mangeais sa bouche. Je l'embrassai doucement, chaudement, à la bouche, à la nuque, de nouveau en pleine bouche et nos langues s'entremêlaient tandis que mes doigts parcouraient les seins de cette fille. Des seins que je suçai avec fougue, recevant les caresses de sa main, voulant s'assurer que j'étais là.
Un morceau de glaçon sur ma langue débutait à peine l'exploration de sa chatte. Elle tournait sur ses lèvres, tandis que mon doigt faisait tourbiller son clitoris. Ma tête fut pressée jusqu'au fond, et je profitai pour la faire hurle, car ma langue tremblait et vibrait au fond de son con.
Sa vue cachée ne l'empêcha point de se placer en backchat, me suppliant de la défoncer. Hyper excitée, est-il besoin de le préciser. Et délicieusement étroite.
Ah, je le savais bien qu’elle ne portait rien dessous. J'enfonçai mon mât en elle, ses fesses en l'air étaient capturées par mes doigts, tandis qu'elle mordit l'oreiller pour ne pas hurler. Je la baisais, elle demandait, et eut ses multiples orgasmes.
Elle était attachée aux poignets, je la baisais, un pied au cou. Je l'embrassais, et grouillait doucement au fond.
Changement de position : elle était au-dessus. Pendant qu’elle commençait ses va-et-vient, j’ai posé mes mains partout où je le pouvais : ses hanches, son ventre, ses seins – ah, ses seins – ses bras, ses joues, sa bouche – oh la, quand elle m’a mordillé les doigts, oh la la – ses cheveux, ses seins encore, ses tétons durs et très, mais alors très sensibles, ses hanches qui accéléraient la cadence, ses fesses trempées de désir et de sueur. Elle a eu un orgasme très vite, ça l’a secouée comme une décharge électrique. Elle entreprit de me sucer encore, puis se rassoit à nouver, accroupie et sautant sur mon pénis. On l'avait fait même sous la douche, et c'était super. On n'a pas vu le temps passer, et elle avait arrêté de compter les orgasmes. J'entrepris alors un massage, avant de m'en aller joyeusement.
J'ai baisé ma chérie; plus tard, au tel, elle était joyeuse. On avait recommencé, car nos sexes se réclamaient toujours mutuellement. Pourtant notre amour et notre affection ne changeront point, car le coeur est plus fort qu'une bande.
Yvan Jean Verlaine Pierre
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