Amoureuse de lui
- NH
- 14 juil. 2020
- 2 min de lecture
Je suis follement tombé amoureuse de toi. Mais je savais que t'aimer et être aimé par toi serais un véritable défi. J'entendais toujours parler de toi par ci et par là... Je voulais donc te connaître et te sculpté de plus près. Et voir si je pouvais changer ta facette de Player. À trop vouloir relever ce défi j'ai complètement oublié qu'une bête reste une bête et ne deviendra jamais un être humain et qu'à trop vouloir aider on finit toujours par être blesser et tout perdre.
En dépit de tout, je voulais au moins essayé. Voir de quoi j'étais capable de faire pour un homme que j'ai tant aimé et tant voulu. Un homme que je désirais ardemment. Passionnément. Que je rêvais chaque jour me prendre, me déposer doucement sur le lit, enlever son short et son caleçon pour me laisser voir son beau tableau. J'ai l'impression que je serais stupéfaite et toute gênée mais tout aussi satisfaite à la fois. Puis lorsqu'il remonterait sur moi et me caresser de partout, moi, j'en profiterais pour passer ma jambe gauche sur son dos et lui passerait délicatement ses mains sur mes fesses et ma jambe droite. Me rendrait ainsi tout aussi faible, et à sa merci. Voir également son sourire pervers jubilé sur mon corps et me dire que je suis sexy en dénouant l'élastique de mon short et voir ma petite culotte en dentelle préparer pour lui.
Mais je ne me suis jamais rappeler que l'amour rend toujours aveugle, qu'elle peut-être une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité. Mais de toute manière, j’ai préféré me dire que les pétales sont plus accueillante et ne me blesseront jamais et finit par oublié une étape de sa vie, le processus où les pétales fanent, tombent, deviennent de la poussière et les épines qui resteront toujours présentent même s'ils seront sans vie.
Au final, je me suis rappelé de ce que ma sœur me disait à chaque rupture : «Tombe amoureuse d'une personne qui aime ta folie et non d'un idiot qui t'oblige à être normale ». Pfff!
Dans ma petite tête de moineau et de celle qui écoutait son cœur, je tombais toujours dans ton petit jeu aussi sournois que toi... Tout ce que tu me disais était sans égale: "Poses ta main sur mon cœur et ressent toute l'éruption d'adoration volcanique que tu provoques en moi puis tu verras la réponse”. L’une des choses que tu m'as dites avant de dormir. Je me sentais à ce moment aimé, et non endetté. Mais toute bonne chose est passagère.
J'ai fait que pleurer depuis et voulait à tout prix ne plus existé mais je me suis dit que je ne suis pas faible en te laissant m'abattre ainsi juste que : "Les larmes sont des mots du cœur que la bouche est incapable de dire".
Je me souviendrais toujours de toi.
Jimla Théodate
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